Sur la route des châteaux qui parcourt le Médoc se dresse sa silhouette majestueuse connue de tous les amateurs du monde entier… Avec son architecture impressionnante, le Château Palmer fait partie des propriétés emblématiques de l’appellation Margaux. Pour découvrir tous les secrets de ce domaine iconique, Château Palmer a ouvert à Millésima ses portes et vous offre l’opportunité de vivre pleinement l’expérience Palmer avec à la clé, des millésimes aussi rares qu’exceptionnels. Avec Millésima x Palmer, entrez dans la légende d’une icône de Margaux…
C’est en 1814 que le Lieutenant-Colonel Charles Palmer fait l’acquisition du domaine de Gascq, dont la réputation de ses vins était déjà assise depuis le début du XVIIIème siècle. Dynamique et ambitieux, Charles Palmer s’attachera à embellir la propriété durant près de 30 ans avant de lui laisser son nom. Les familles Mähler-Besse et Sichel hisseront par la suite le châteauPalmer au sommet des crus bordelais. Depuis 2004, le Château Palmer est désormais dirigé par le talentueux et passionné Thomas Duroux qui a œuvré sans relâche pour maintenir le cru à son meilleur niveau tout en entamant une transition sans précédent vers une viticulture durable et respectueuse de l’environnement. Aujourd’hui, le château Palmer rayonne comme jamais sur les terres de Margaux.
Le Château Palmer nous ouvre exceptionnellement les portes de sa cave et vous invite en exclusivité à entrer dans l’histoire des grands millésimes de la propriété… Comme un retour dans le passé, faites l’expérience de millésimes qui ont bâti la légende des grandes années de Bordeaux… 1983, 1989, 1990, 1995, 1999 ou encore 2000, 2005 et 2008…. Autant de grands millésimes qui ont fait vibrer les amateurs de Margaux du monde entier et autant d’années durant lesquelles Château Palmer a brillé. L’histoire de Château Palmer s’écrit aussi au travers de deux vins rares qui signent sa singularité parmi les autres crus du Médoc.
Avec l’offre Millésima x Palmer, goûtez à tout ce que Margaux a de plus beau et raffiné à vous offrir. Ces flacons rares et ces millésimes d’exception sont disponibles en quantité très limitée et reposent directement à la propriété. Par conséquent, il convient de compter un délai de préparation et de livraison de plusieurs semaines.
Le temps, pile à l’heure. L’année 1983 profite pour chaque cycle de développement de la vigne d’une météo idéale : chaud et sec en juin pour la floraison, caniculaire sur le début de l’été au moment de la véraison, à nouveau chaud et sec en septembre en pleine maturation des raisins. Au final, des richesses en sucres comparables à celles de 1982 et des tanins très mûrs.
Chaud devant. En 1989, mai voit le vignoble fleurir; juin, juillet et août rivalisent de chaleur. Les vignes transpirent, les raisins se concentrent. Le millésime le plus précoce du siècle s’annonce grandiose. Plus éblouissant encore que 1982.
Le temps des promesses. En cette année 1990, tout porte à croire que ce Palmer s’annonce grandiose. D’une part, deux grands vins l’ont précédé. D’autre part, l’été s’avère particulièrement chaud, voire tropical en août. Du jamais vu depuis 1982 et, avant cela, 1949 et 1947. Trois millésimes illustres…
Avec le temps, tout va. Pas un nuage sur l’été de ce millésime. À peine quelques pluies et un soupçon de fraîcheur en septembre. Résultat ? Des vendanges effectuées à maturité optimale et, de fait, un vin d’une grande richesse aromatique.
Les Cabernets. Après une maturation lente et régulière, ce sont eux qui cette année atteignent une concentration exceptionnelle. sauvignons et francs signent ainsi un vin, particulièrement dense, épicé, complexe. Un grand millésime.
Du grand classique. Pas ou peu de nuage sur ce millésime. Au propre comme figuré. Mise à part quelques pluies en septembre, les raisins ont bénéficié d’un temps chaud et sec, idéal pour atteindre une maturité optimale.
De la concentration. Bien au-delà des espérances nourries par un climat favorable, les raisins de nos parcelles se sont concentrés avec une rare intensité. Jamais les Cabernets-Sauvignons n’avaient atteint une telle richesse en sucres. Le millésime s’en ressent, pleinement !
De la garde. C’est la caractéristique première de ce millésime. À partir de mi-juillet, un temps sec et beau a permis aux raisins de mûrir lentement, sûrement. Leur qualité, associée à des tanins mûrs et soutenus par une acidité suffisante ont produit un grand Margaux de très longue garde.
Un millésime historique. Parce que sécheresse exceptionnelle. Du jamais vu en France depuis 1976, source d’un très faible rendement et surtout d’une forte concentration des raisins au jus gorgé d’arômes. Forcément, un grand vin…
Ressuscité, ce millésime revient de loin. La faute à des conditions météorologiques fraîches et humides de mi-mars à fin juin. Heureusement, « après la pluie, le beau temps ». De quoi permettre aux raisins les plus tardifs d’arriver tranquillement à maturité…
Au XXIème siècle, Château Palmer a renoué avec une tradition anciennement pratiquée par les grands châteaux bordelais : celle d’hermitager les vins. La cuvée Historical XIXth Century Wine a ainsi vu le jour. Ce cru d’exception est le résultat de l’alliance du vin de Palmer et d’un grand vin des Côtes du Rhône septentrionales. Un vin résolument historique !
Au début du XXe siècle, il était coutume dans les grands châteaux médocains de produire quelques barriques de vin blanc, réservées à l’usage exclusif des propriétaires. Ce fut le cas à Château Palmer jusque dans les années 30. Heureuse surprise et survivance de cette époque, deux bouteilles de Palmer blanc du millésime 1925, dont la trace avait été perdue, ont été retrouvées à la fin des années 1990 dans le caveau du château. Au début des années 2000, pour perpétuer cette tradition, quelques pieds de cépages blancs oubliés ont été replantés : Muscadelle, Sauvignon Gris et Loset. Le vin blanc de Palmer est ainsi produit
en quantité confidentielle depuis 2007, pour les propriétaires, les invités du domaine, et quelques grandes tables autour du monde.
Parce qu’il n’y pas de grande viticulture sans respect de la vigne et de tout l’environnement autour, le Château Palmer s’est imposé très tôt comme l’un des pionniers de l’appellation Margaux en faisant le choix de la biodynamie sur le domaine. La propriété suit la philosophie selon laquelle un vignoble est un organisme vivant en harmonie dont la vraie nature est d’être autonome et équilibré. L’objectif est ainsi de prendre soin de la plante tout en l’aidant à développer son système immunitaire pour qu’elle devienne plus résistante.
Au Château Palmer, cette volonté de respecter l’environnement, la vigne ainsi que les hommes et les femmes qui travaillent chaque jour sur le vignoble s’est donc matérialisée par le choix d’entamer une transition vers la biodynamie. Dès 2009, un hectare de vigne a ainsi été cultivé en appliquant les principes de la biodynamie. En 2013, la propriété avait converti 33 hectares sur un millésime pourtant pluvieux et capricieux. Pour autant, les résultats ont dépassé les attentes escomptées et depuis 2014, l’histoire de l’intégralité du vignoble du Château Palmer et du domaine s’écrit sous la lumière de la biodynamie.
Très vite, les effets de la biodynamie se sont fait ressentir positivement sur la vie du vignoble du Château Palmer. Les oiseaux et les insectes ont fait leur retour grâce notamment aux différentes herbes et plantes présentes dans les rangées de vignes. La vie microbienne des sols s’est ainsi considérablement renforcée, de même que leur oxygénation. Respecter l’écosystème dans son intégralité, préserver et embellir ce grand terroir de Margaux en renouant avec un bon sens paysan, tel était le pari de Château Palmer. Un pari complètement réussi pour le plus grand bonheur des amateurs de la propriété…
Cette quête de préservation de la biodiversité est allée encore plus loin en décidant de laisser paître tout un troupeau de 190 brebis landaises dans les parcelles de vignes. De début novembre à fin mars, alors que la vigne est en phase de dormance et se repose, les ovins interviennent. Évoluant d’une parcelle à l’autre, les brebis broutent ainsi l’herbe et régulent la pousse. Elles favorisent la richesse et la diversité de l’enherbement. L’apport de matière azotée fertilise naturellement les sols. Tel un jardin et grâce à leur action, la vigne s’entretient naturellement.
C’est en 2014 que le château Palmer a décidé de réintroduire une race de vaches quasiment éteinte dans la région de Bordeaux. Petit retour en arrière : au XIXème siècle, les châteaux bordelais possédaient un troupeau de vaches qui servait à deux buts principaux : fournir le lait et le compost pour le vignoble. Ces bovins rustiques à la robe noire et blanche étaient de race bordelaise. Vouée à l’extinction, la race bordelaise a été sauvée notamment grâce à l’action du Conservatoire des Races d’Aquitaine. Travaillant en étroite collaboration avec l’institution, le château Palmer a rendu hommage à cette race bovine avec 3 bêtes qui ont rejoint le domaine. Le troupeau compte désormais une dizaine de bêtes. Outre l’intérêt de préservation de l’espèce, ces vaches bordelaises sont une source de compost durable pour fertiliser les vignes et le domaine du Château Palmer. La boucle est ainsi bouclée…
C’est dans les cuisines du château Palmer qu’il faut se rendre pour découvrir l’un de ses secrets les mieux gardés. Né au Japon, Seiji Nagayama a fait du potager de Palmer son jardin de jeux. Après avoir été formé auprès des plus grands, chez le chef Joël Robuchon et au Bristol à Paris, sa créativité et sa fine lame ont trouvé dans le potager du Château Palmer de quoi sublimer avec brio n’importe quel plat. Grâce à lui, sarriette, marjolaine, guimauve, hysope, rue officinale, achillée millefeuille, roquette sauvage ou l’immortelle douce-amère (helichrysum italicum) se transforment pour s’accommoder à merveille avec les vins du Château Palmer. Plaisir des yeux, plaisir des sens, le Château Palmer devient ainsi une véritable ode à la vie, un lieu de rencontre, de plaisir et de partage où la gastronomie et la culture du vin ne font plus qu’un.
Vivez une expérience unique de dégustation en découvrant l’histoire qui se cache derrière chaque flacon de château Palmer grâce à l’application mobile officielle de la propriété.
Exclusivement dédiée aux vins de la propriété, cette application vous permettra de découvrir la cave du Château, de vérifier l’authenticité de votre bouteille, de réaliser vos commentaires de dégustation en ayant directement accès aux fiches techniques de chaque millésime. Vous pourrez aussi obtenir des conseils de service ou encore des suggestions d’accords mets-vins du chef Seiji Nagayama pour sublimer vos instants de dégustation de Château Palmer en cuisine. De la découverte à la dégustation, cette application mobile vous guidera pas à pas pour vivsre une expérience inédite.